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Présentation générale : Bulletin d’évaluation 2011

Améliorer la transparence du secteur forestier est un programme de quatre années dont l'objectif est d'aider les groupes de la société civile de pays riches en forêts à défendre une transparence accrue et une bonne gouvernance. Un volet important du programme repose sur les bulletins d'évaluation annuels des partenaires d'ONG indépendants, qui permettent de dresser un état des lieux du secteur forestier dans leur pays. Le nombre de partenaires d'ONG augmente chaque année. Ainsi, en 2009, le programme englobait le Cameroun, le Ghana, le Libéria et le Pérou, auxquels se sont joints en 2010 l'Équateur et, en 2011, le Guatemala et la République démocratique du Congo (RDC).

Le bulletin d'évaluation 2011 repose sur 20 indicateurs clés ayant trait aux importantes dispositions du cadre juridique et réglementaire qui régissent la gouvernance dans le secteur forestier. En fonction de l'indicateur, l'existence d'une « disposition » peut faire référence à différents composants du cadre, par exemple :

- une législation générale (par exemple l'Indicateur 1 : Loi sur la liberté de l'information),

- une loi ou politique forestière (par exemple l'Indicateur 2 : Politique forestière nationale),

- des procédures faisant partie de lois, de réglementations ou d'autres normes (par exemple l'Indicateur 11 : Octroi de permis forestiers)

- des informations devant être produites conformément à des lois, réglementations ou d'autres normes (par exemple l'Indicateur 20 : Rapports annuels des autorités forestières)

Ce site Internet présente les différentes données ainsi qu'une analyse des indicateurs 2011, de même que des sections narratives pour chaque pays et à l'échelle du programme qui mettent en évidence les différents enseignements tirés, les conclusions par thème et les recommandations à mettre en œuvre pour améliorer la transparence. Les données pays sont présentées sur plusieurs pages. Le tableau de bord introductif met en exergue les principales conclusions ainsi qu'une liste de symboles inspirés des feux de signalisation faisant référence aux 20 indicateurs (voir par exemple le Cameroun). Les feux verts (« oui »), jaunes (« en partie ») et rouges (« non ») indiquent si le cadre juridique et réglementaire prévoit ou non des mesures favorables à la gouvernance forestière et si des informations sur ces mesures sont publiquement disponibles. Pour les pays dont la transparence a été évaluée lors des années précédentes, tout changement notoire par rapport au dernier bulletin est indiqué par un pouce, allant de « forte amélioration » (pouce vers le haut) à « situation considérablement aggravée » (pouce vers le bas), en passant par « aucun changement » (pouce à l'horizontale).

Le lien « Voir les données » fait apparaître la liste des 20 principaux indicateurs accompagnés d'un bref commentaire (voir par exemple le Pérou). Chaque indicateur peut alors être sélectionné afin de consulter l'ensemble des données collectées à son égard (voir par exemple Indicateur 2 : Politique forestière au Libéria). La version intégrale des données comprend une analyse permettant de savoir si la disposition en question permet un accès transparent à l'information et au processus décisionnel, et fournit, le cas échéant, des renseignements sur les intitulés des textes, leur date de publication, les institutions responsables et les sources accessibles.
La page de présentation des 20 principaux indicateurs offre également la possibilité de sélectionner certains indicateurs afin de les comparer entre pays et d'une année à une autre dans un tableau (voir par exemple la comparaison relative à l'Indicateur 14 : Plans de gestion forestière dans les sept pays). Cependant, étant donné que chaque partenaire applique les indicateurs en fonction du contexte spécifique à son pays et que la méthodologie employée est aujourd'hui différente de celle utilisée en 2010 et en 2009, une comparaison directe entre indicateurs n'est pas toujours pertinente.

Les pages consacrées aux pays fournissent des liens vers la méthodologie employée et les enseignements tirés en 2011 (voir par exemple la méthodologie employée en Équateur et les enseignements tirés en Équateur). La synthèse des enseignements tirés est suivie d'autres liens vers l'analyse, les conclusions et des recommandations plus détaillées. Vous trouverez par ailleurs dans les pages générales du programme des liens vers une description de l'évolution de la méthodologie depuis 2009 et une présentation comparative générale des enseignements tirés accompagnée d'une analyse, de conclusions et de recommandations complémentaires.

Qui plus est, chaque partenaire du projet a produit un bulletin spécifique à son pays pour 2011 qui renseigne sur les travaux complémentaires qu'il a réalisés sur le terrain et sur les autres activités de collecte de l'information, et Global Witness publie un rapport s'appuyant sur la présentation générale. Ces rapports peuvent être consultés à partir de la page Téléchargement dès qu'ils ont été élaborés. La page Mises à jour met aussi en évidence d'autres nouveautés et, le cas échéant, des annonces relatives à des changements significatifs affectant la transparence du secteur forestier entre deux bulletins annuels.

Hébergé par
Global Witness DAR CIKOD CED SDI Grupo FARO Asociación de Forestería Comunitaria de Guatemala Ut’z Che’ Réseau Ressources Naturelles
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